Paysage
Fédération canadienne de la fauneEnvironnement et Changement climatique Canada
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Description

Nombreuses sont les personnes qui reconnaissent la Bernache du Canada (Branta canadensis), grâce à sa tête noire, aux taches blanches de ses joues et à son long cou noir. Toutefois, il existe plusieurs races différentes, de sorte qu’elle peut être très différente d’une région à l’autre du Canada. Bien que les scientifiques ne soient pas tout à fait d’accord sur le nombre exact de races de Bernaches du Canada, la plupart d’entre eux croient qu’il en existe 11.

Les différentes races de Bernaches du Canada vont de l’une des plus petites, la Bernache du Canada minima, qui peut peser aussi peu que 1,1 kg, à la plus grande des Bernaches, la Bernache du Canada géante, qui peut peser jusqu’à 8 kg. L’envergure des ailes se situe, selon la race, entre 90 cm et 2 m environ. La couleur des parties inférieures varie d’une teinte gris pâle perlé à noisette et même au brun noirâtre. Les diverses races se distinguent aussi par les proportions de leur corps, notamment par la longueur relative du cou, de la conformation et de la posture. En général, plus un oiseau est gros, plus son cou est long et son corps allongé.

Les Bernaches du Canada nouvellement nées ont un duvet de couleur jaune tirant sur une teinte olive qui s’assombrit en une teinte gris terne au cours des premières semaines de leur vie. À mesure que les oiseaux grandissent, des plumes couvrent petit à petit le duvet, et lorsque les jeunes Bernaches sont prêtes à voler à la fin de l’été, il est difficile de les différencier de leurs parents. À partir de ce moment, les mâles et les femelles se ressemblent quel que soit le temps de l’année.

Signes et sons

Les bandes migratrices de Bernaches du Canada sont facilement reconnaissables à leurs formations en « V » irrégulières lorsqu’elles volent au printemps et à l’automne. On peut souvent les entendre également, puisqu’elles cacardent habituellement en un choeur soutenu. Leurs cris varient d’un ka-lunk profond pour les races de moyenne et de grande tailles à des voix aiguës et caqueteuses pour les races de plus petite taille. Les chercheurs ont établi que la Bernache du Canada possédait environ 13 cris différents, variant des bruyants cris de salutation et d’alarme aux faibles gloussements et aux murmures des Bernaches qui s’alimentent.

Les oisons commencent à communiquer avec leurs parents alors même qu’ils sont encore dans leur oeuf. Leurs cris se limitent à des petites salutations, à des cris de détresse et à des trilles aigus indiquant leur contentement. Les oisons répondent de façons différentes à différents cris des adultes, ce qui indique que les adultes utilisent une variété de cris possédant une gamme de significations pour communiquer avec leurs petits.

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Habitat et habitudes

La Bernache du Canada

La Bernache du Canada
Photo: USFWS/Early, Tom, Angell R.,
Byrd V, Lee F.

On peut trouver la Bernache du Canada dans presque tous les types de terres humides, aussi bien de petits étangs que de grands lacs et rivières. Cependant, cet oiseau passe autant de temps, sinon plus, sur la terre que dans l’eau.

La Bernache du Canada se reproduit dans une grande variété d’habitats. Elle préfère les basses terres ayant de vastes étendues de prés herbeux et humides, et une abondance d’étangs et de lacs servant de refuge contre les renards et d’autres prédateurs terrestres. La Bernache dans les régions les plus au nord se reproduit dans la toundra sans arbres de l’Arctique. Sous la limite des arbres, la Bernache niche dans la forêt boréale claire, avec ses peuplements épars d’épinettes rabougries et de mélèzes. Dans le Sud du Canada et sur tout le territoire des États-Unis, la Bernache du Canada nicheuse prend domicile dans de nombreux endroits, aussi bien les torrents protégés et les cuvettes des prairies, que les terrains de golf et les parcs en milieu urbain. Pendant l’automne et l’hiver, la Bernache du Canada préfère les terres agricoles où de vastes champs de grains céréaliers et d’autres cultures lui fournissent une nourriture abondante et une certaine protection contre les prédateurs.

Les liens familiaux sont forts chez la Bernache du Canada : les oisons demeurent avec leurs parents une année entière et retournent avec eux dans les aires de reproduction après leur premier hiver. Ainsi les bandes migratrices à l’automne et au printemps comprennent un bon nombre de familles voyageant ensemble.

Bien que la plupart des Bernaches du Canada agissent de façon territoriale pendant la période de nidification, elles se réunissent en bandes de plusieurs centaines à plusieurs milliers d’oiseaux lorsqu’elles migrent ou qu’elles se trouvent dans les aires d’hivernage.

Caractéristiques uniques

Le spectacle des Bernaches du Canada qui fendent le ciel en cacardant au printemps ou à l’automne dans de longues formations en « V » irrégulières est toujours fascinant. Ce spectacle constitue l’un des principaux présages du changement de saisons au Canada. Le vol en lignes diagonales ou en formations en « V » sert au moins deux buts. Le plus important, c’est qu’il aide les Bernaches à conserver de l’énergie et leur permet de franchir de plus longues distances. Les scientifiques croient que les Bernaches du Canada volent en formations en « V » parce que cette configuration produit l’effet du « tirant », où la Bernache qui suit, comme un cycliste dans une course, profite des courants d’air produits par la Bernache en tête, ce qui lui demande moins d’énergie pour voler. Une deuxième fonction de cette formation est de coordonner les mouvements de la bande, ce qui permet la communication rapide et efficace des changements de vitesse ou de direction à tous les membres de la bande.


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Aire de répartition

Aire de reproduction

Les Bernaches du Canada se reproduisent sur tout le territoire de l’Amérique du Nord, sauf dans l’Extrême-Arctique et dans les régions de l’Extrême-Sud des États-Unis et du Mexique. Une partie de la population de l’Atlantique Nord niche même dans l’Ouest du Groenland. Certaines Bernaches hivernent dans le Sud du Canada, de la Colombie-Britannique, en passant par le Sud-Ouest de l’Ontario, jusque dans les provinces Maritimes, en autant qu’elles trouvent de la nourriture et des eaux libres. Mais la plus grande majorité voyage plus au sud, vers les États-Unis ou même le Nord-Est du Mexique.

La migration printanière des Bernaches qui se reproduisent dans les régions septentrionales commence à la fin de l’hiver et peut durer plusieurs semaines. Les Bernaches voyagent lentement vers le nord en suivant la ligne de la fonte des neiges. Elles effectuent plusieurs arrêts pour se nourrir dans des régions clés afin de se constituer des réserves qui seront nécessaires à l’étape finale de migration et à la reproduction.

La migration automnale débute lorsque l’eau et le sol commencent à geler dans les aires de reproduction. Le voyage entre les aires de reproduction et les aires d’hivernage est plus rapide que le vol printanier vers le nord. Par exemple, de nombreuses Bernaches du Canada de la population de l’Atlantique parcourent plus de 1 000 km en moins d’une semaine, en partant de leur aire de reproduction dans le Nord du Québec, jusqu’à leur principale aire d’hivernage le long du littoral Est des États-Unis. En fait, des scientifiques ont suivi certaines Bernaches munies de radio-émetteurs qui avaient effectué le trajet en une seule journée! Les familles comportant des oisons, qui migrent vers le sud pour la première fois, effectuent probablement le voyage moins rapidement que celles formées uniquement d’adultes.

En plus des migrations annuelles des aires de reproduction aux aires d’hivernage, les Bernaches du Canada effectuent parfois un voyage spécial appelé migration de mue. Chaque année, les Bernaches doivent remplacer leurs rémiges usées. Comme les plumes sont remplacées toutes en même temps, les Bernaches ne peuvent pas voler pendant les quatre à cinq semaines que dure la période de mue. Les meilleurs endroits où les Bernaches peuvent demeurer pendant cette période sont ceux qui ont beaucoup d’eaux libres sur lesquelles elles peuvent se réfugier si elles sont menacées et où elles peuvent trouver une bonne provision d’aliments riches en protéines nécessaires à la croissance de nouvelles plumes. La plupart des Bernaches qui ne se reproduisent pas au cours de la saison entreprennent une migration de mue, qui comporte généralement un voyage vers le nord, souvent bien au-delà de l’aire habituelle de reproduction, entre la fin de mai et le début de juin. Les oiseaux qui réussissent à se reproduire muent plus tard dans la saison et restent avec leurs jeunes oisons qui n’ont pas encore commencé à voler.

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Alimentation

Contrairement à de nombreuses espèces de sauvagine qui se nourrissent surtout en milieux aquatiques, la Bernache du Canada se nourrit surtout sur la terre. Au printemps et en été, elles s’alimentent surtout de feuilles de graminées, mais elles mangent également une grande variété de feuilles, de fleurs, de tiges, de racines, de graines et de baies. Les Bernaches doivent consommer de grandes quantités de nourriture pour obtenir les nutriments dont elles ont besoin; elles passent souvent 12 heures par jour ou plus à s’alimenter. Pendant l’hiver, les Bernaches du Canada s’alimentent souvent dans des champs où elles trouvent une abondance de maïs, d’avoine, de soya et d’autres cultures et grains tombés sur le sol au moment de la moisson. Lorsqu’elles trouvent de tels aliments riches en énergie, elles s’alimentent parfois dans les champs pendant quelques heures au début de la matinée et à la fin de l’après-midi et passent le reste de la journée à se reposer en sécurité sur un lac ou une grande rivière. Certaines Bernaches du Canada s’alimentent sur le gazon des pelouses, des parcs et des terrains de golf. 

Pour les Bernaches, le printemps est une période très exigeante au point de vue énergétique, surtout pour les femelles reproductrices. Les Bernaches du Canada s’alimentent intensément pendant les quelques semaines qui précèdent leur départ des aires agricoles du Sud afin de se préparer à une période maigre en nourriture une fois arrivées dans les aires de reproduction du Nord. Elles auront besoin de réserves suffisantes de graisse et de protéines pour terminer la migration, produire une couvée d’œufs et survivre pendant environ un mois de couvaison. 

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Reproduction

La Bernache du Canada se trouve un compagnon ou une compagne (pour s’accoupler) au cours de la deuxième année de sa vie. Le couple restera ensemble pour la vie. Cependant, contrairement à la croyance populaire, si un des partenaires est tué, l’autre se trouvera un nouveau compagnon.

La Bernache du Canada se reproduit plus tôt dans la saison qu’un grand nombre d’oiseaux. La reproduction se déroule de telle sorte que les oeufs éclosent au moment o? les plantes, que les oisons (ou les jeunes) mangeront, seront à leur valeur nutritionnelle la plus élevée. Après l’éclosion, il y a également assez de temps pour permettre aux oisons de grandir et d’être capables de voler vers le sud avant le gel. Les Bernaches du Canada qui se reproduisent dans des zones tempérées à températures douces commencent à nicher dès que les conditions deviennent favorables au printemps, parfois dès la mi-mars. Les Bernaches du Canada qui se reproduisent dans le Nord atteignent les aires de nidification à la fin du mois d’avril ou au début de mai. Celles qui se reproduisent dans la région arctique atteignent les aires de nidification plus tard.

Certaines Bernaches du Canada se reproduisent à l’âge d’un an, mais la grande majorité niche pour la première fois à l’âge de deux ou de trois ans seulement. La couvée compte habituellement de cinq à sept oeufs, les oiseaux plus âgés ayant une couvée plus importante que ceux qui pondent pour la première fois. La femelle couve ses oeufs de 25 à 28 jours, tandis que son compagnon assure la garde à proximité. Dans certains cas, le mâle se tient parfois à plusieurs centaines de mètres du nid, mais il est toujours vigilant et retourne au nid si celui-ci est menacé ou si la femelle doit s’en éloigner. Pendant la période de couvaison, la femelle ne quitte le nid chaque jour que pendant de brefs moments, pour aller se nourrir, boire et se laver.

La plupart des sites de nidification sont situés près de l’eau et souvent, sur des îles. Ces sites sont choisis pour offrir une certaine protection contre le vent, tout en permettant à la femelle qui couve de bien apercevoir les prédateurs qui pourraient s’approcher. La Bernache du Canada femelle retourne toujours nicher au même endroit où ses parents ont niché et elle utilise souvent le même site de nidification chaque année.

Peu de temps après l’éclosion des oeufs, les familles quittent leur nid, parcourant parfois plusieurs kilomètres en quelques jours en marchant pour atteindre leur site d’élevage des couvées. Celles qui ont niché près du littoral descendront peut-être les rivières afin de trouver des marais côtiers offrant plus d’avantages. Dès qu’ils quittent le nid, les oisons se nourrissent de graminées et de carex dans les prés et le long des rivages.

Un couple et ses oisons constituent un groupe presque inséparable, qui agit à l’unisson. En général, la femelle ouvre la marche, suivie des petits, puis de son compagnon. Lorsqu’une autre famille de Bernaches s’aventure trop près, les parents et les petits adoptent des postures d’intimidation et font beaucoup de bruit. L’importance numérique et non la taille ou le poids des adultes semble être le facteur décisif : les familles nombreuses l’emportent presque toujours sur les familles moins nombreuses, lesquelles l’emportent à leur tour sur les couples qui n’ont pas de petits. La plupart des confrontations se règlent sans qu’il y ait de contact physique; les luttes prolongées sont rares.

De six à neuf semaines après l’éclosion, selon la race, les oiseaux sont prêts à s’envoler en famille. À ce moment-là, environ la moitié des oisons auront survécu. Dans le Nord, les Bernaches du Canada se nourrissent de baies et accumulent une couche de graisse avant d’émigrer vers le sud. Avant la migration, les familles se réunissent en groupes de quelques familles, jusqu’à plusieurs douzaines de familles, souvent dans les régions côtières. Les dernières Bernaches du Canada s’attardent le long des côtes septentrionales jusqu’au début d’octobre. Puis, tout à coup, elles partent en l’espace de quelques jours.

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Conservation

Plusieurs animaux font leur proie des oeufs et des jeunes Bernaches du Canada. Dans le Grand Nord, le principal prédateur est le renard arctique. Celui-ci peut voler tous les oeufs de plusieurs nids et les cacher pour les manger lorsqu’il a peu de nourriture. Les mouettes et goélands, les labbes, les corbeaux et parfois les ours sont aussi des prédateurs. Le premier moyen de défense consiste à attirer l’attention du prédateur sur le mâle dans le but de l’éloigner du nid ou des oisons. Si ce moyen échoue, les races de petites Bernaches du Canada, qui sont habiles au vol, sont souvent capables de chasser les mouettes et goélands et les labbes. Les races plus grosses utilisent leur taille et un comportement agressif pour dissuader la plupart des prédateurs, notamment les renards, de trop s’approcher. Elles ouvrent grandes leurs ailes pour se donner la taille la plus grande possible et elles sifflent bruyamment. Elles peuvent également donner des coups à la tête du prédateur avec leurs ailes. Les renards doivent donc être très prudents! Cependant, les combats ne jouent pas toujours en la faveur de la Bernache. À l’occasion, un renard habile arrive à tuer une Bernache adulte. Les renards roux, les coyotes, les loups et les Pygargues à tête blanche peuvent également tuer des Bernaches du Canada adultes, soit dans les aires de nidification, les aires de rassemblement, ou les aires d’hivernage. Néanmoins, lorsqu’une Bernache arrive à survivre sa première année, l’expérience qu’elle a acquise la rend beaucoup moins vulnérable aux prédateurs. La plupart de ces Bernaches vivent 10 ans ou plus, jusqu’à un maximum d’environ 24 ans.

Dans un monde où de nombreuses espèces sont menacées par l’activité anthropique (c.-à-d. liée aux humains), les Bernaches du Canada sont une heureuse exception. Bien que l’identité, l’espèce et même l’existence de certaines petites populations soient loin d’être assurées, toutes les populations canadiennes sont stables ou augmentent. L’ensemble de l’espèce a prospéré au cours des 50 dernières années. En 1950, on comptait au total peut-être un million de Bernaches du Canada en Amérique du Nord; aujourd’hui, avant l’ouverture de la chasse en septembre, il y en a probablement plus de huit millions.

Les Bernaches du Canada doivent leur prospérité en partie aux programmes de conservation, y compris à la création de refuges et à une réglementation judicieuse de la chasse. Cependant, elles ont probablement profité encore davantage des techniques agricoles modernes avec les grands champs de culture, l’utilisation abondante des engrais, l’introduction de variétés de graminées, de maïs et de céréales résistantes et à rendement élevé, de même que la perte de graines due à la récolte mécanique.

La Bernache du Canada géante se reproduisait autrefois dans le Sud du Canada et dans le Nord des États-Unis, mais elle a disparu de la presque totalité de son aire de répartition vers la fin des années 1800. Les premiers pionniers ont peut-être ramassé les oeufs des Bernaches du Canada géantes et encerclé et tué de nombreuses Bernaches pendant la période de mue o? elles ne peuvent voler. À compter du début des années 1900, des Bernaches du Canada provenant de bandes élevées en captivité ont été réintroduites dans les régions méridionales de leur ancienne aire de répartition. Cette pratique s’est effectuée pendant presque tout le XXe siècle et les Bernaches du Canada ont finalement été rétablies en Pennsylvanie, dans l’État de New York, en Ontario et dans l’Ouest et le Sud de l’Alberta. Durant cette période, les Bernaches ont également été introduites dans des régions où elles ne se reproduisaient peut-être pas autrefois.

Ces populations réintroduites ont depuis augmenté considérablement, et les Bernaches du Canada sont devenues une nuisance dans de nombreuses régions. La protection ou les ressources alimentaires qu’offrent les parcs, les terres humides à proximité des banlieues, les pelouses et les terrains de golf leur sont favorables. Comme la chasse est interdite dans ces zones, très peu de facteurs y limitent la multiplication et la concentration de ces oiseaux. Les populations urbaines de Bernaches du Canada continuent d’augmenter, et l’aire de répartition de cet oiseau continue de s’étendre. Les problèmes reliés aux Bernaches comprennent les fientes (excréments) sur les pelouses et les plages, qui peuvent contaminer les sources d’eau potable, les comportements agressifs envers les humains et les collisions avec des aéronefs. On demande de plus en plus aux gestionnaires des espèces sauvages d’adapter une bonne conservation de certains types de Bernaches du Canada aux programmes visant à limiter ou à réduire la taille des populations qui entrent en conflit avec l’agriculture ou d’autres activités anthropiques. Pour remédier aux problèmes reliés aux Bernaches, le Service canadien de la faune a assoupli, autant que cela lui était possible, les règlements de chasse. Il a également autorisé l’application d’autres mesures de gestion sous licence.

L’histoire de la Bernache du Canada au cours des 100 dernières années reflète le succès et les dilemmes de la gestion de la sauvagine en Amérique du Nord. Bien qu’il subsiste certains défis relativement à la gestion de la Bernache du Canada, les résultats obtenus dans le cas de cette espèce représentent l’une des plus belles réussites en matière de gestion des espèces sauvages à ce jour.

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Ressources

Ressources en ligne

Bernache du Canada, Humanima

Coalition to Prevent the Destruction of Canada Geese (en anglais seulement)

Ducks Unlimited, Inc. (États-Unis) (en anglais seulement)

International Goose Research Group (Disponible en français)

United States Geological Service, Patuxent Wildlife Research Center (en anglais seulement)

University of Michigan Museum of Zoology, Animal Diversity Web (en anglais seulement)

Ressources imprimées

GODFREY, W.E. Les oiseaux du Canada, éd. rév., Musées nationaux du Canada, réimprimé en 1989, La Prairie (Québec), Éditions Marcel Broquet, en collaboration avec le Musée national des sciences naturelles, 1986.

SAVAGE, C. Ces merveilleux oiseaux du Canada, Montréal (Québec), Éditions La Presse, 1985, p. 45-47.

© Sa Majesté la Reine du chef du Canada, représentée par le ministre de l’Environnement, 1973, 1984, 1990, 2003. Tous droits réservés.
No de catalogue CW69-4/23-2003F-IN
ISBN 0-662-89118-X
Texte : Harold C. Hanson
Révision scientifique : R. O. Bailey, 1989; Jack Hughes, 2003
Révision : Maureen Kavanagh, 2003
Photo : Jack Hughes